Montréjeau semblant en de nombreux points hors du temps concernant les évènements climatiques, nous nous proposons de partager ce JEU de compréhension, conçu par Gildas et Claie VERNET.
Peu de personnes connaissent les ordres de grandeur de l’empreinte carbone et encore moins quels efforts sont nécessaires à chacun pour réduire la consommation moyenne de CO2. Car il s’agit de maintenir la température à une croissance maximale de plus 2°C. Montréjeau n’échappe pas à ces dérèglements, évidents sur nos jardins, nos plantes, nos arbres et nos journées de plus en plus chaudes…
Le jeu apprend à se comporter au mieux de notre intérêt collectif. Il est actuellement expérimenté par une vingtaine d’associations d’éducation populaire en Occitanie.
Il est disponible auprès de « montrejeauavectous » pour ceux qui souhaitent l’appréhender et s’en servir en famille, entre amis ou avec des groupes enfants.
On peut également le commander ICI, ainsi que via HELLOASSO.
Le kit s’adresse à tous les publics, des enfants aux climatosceptiques en passant par les activistes climatiques. C’est le « powerpoint du futur », low-tech et ultra-simple d’utilisation : une ficelle suffit pour poser les cartes. Elles peuvent aussi tenir toutes seules debout ! Ainsi, l’outil s’adapte à un grand nombre de situations.
Le kit, résumé express
« Merci beaucoup pour l’animation de cet outil que je trouve super pour se représenter ce que signifient ces 2 tonnes.” Mathilde, 23 ans
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Vulgariser le constat scientifique sur les urgences climatiques par des graphiques et des citations d’experts
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Rendre visible le poids des différentes activités dans l’empreinte carbone moyenne d’un Français
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Couvrir un éventail de choix de consommation pour faire les arbitrages permettant d’atteindre la cible « moins de 2 tonnes CO2e/pers/an »
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Libérer l’imaginaire par des actions enthousiasmantes qui n’émettent pas de gaz à effet de serre
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Se projeter dans des idées d’actions collectives pour favoriser une bascule de société
“J’apprécie beaucoup le fait d’articuler action individuelle et combat collectif sans opposer ces deux démarches.” Stéphane, 42 ans